Deux divisions complètes sont chargées de la sécurité de la ville, la 14e et la 87e. Afin de faciliter la coordination entre les deux divisions, un Contre-Amiral dirige l'ensemble des forces marines de l'iles, dont notamment, à certaines occasions, le bataillon d'Élite du 102ème régiment d'élite.
En conséquence la ville est particulièrement sure, et les casernes qui y fleurissent garantissent une réaction extrêmement rapide face à n'importe quel désordre.

Voici un homme qui a passé le cap de la soixantaine depuis déjà quelques années. Toujours impeccable sur lui, cet officier est presque à la retraite après une carrière rondement menée. Il n'a jamais fait de vague et a toujours réussi à accomplir ce qu'on lui demandait. De ce fait, pour le remercier et le préparer à sa future retraite, il a du quitter son navire avec lequel il patrouillait depuis plus de sept ans (et qui n'a jamais reçu une égratignure) pour le troquer contre une place confortable dans un bureau. Et pas n'importe lequel puisqu'il s'agit de celui de responsable des garnisons de Logue Town. En plus de sa nouvelle affectation beaucoup moins humide et moins dangereuse, le voilà bombardé Contre Amiral de réserve.

C'est pour lui un grand honneur de recevoir ce grade et ce poste car il a commencé sa carrière, il y a bien des années, dans ces mêmes locaux. L'état major a voulu lui faire un petit clin d'oeil par rapport au surnom de cette ville légendaire.

C'est un rude gaillard que les flots et les batailles ont façonnés durant plusieurs décennies. Peu d'homme ayant servi sous ses ordres émettent des critiques négatives à son sujet. Il n'a jamais reçu de sanction et a un talent particuliers pour la diplomatie. Son fait d'arme est d'ailleurs d'avoir convaincu, uniquement par la parole, un équipage pirate de se rendre alors qu'ils avaient l'avantage du nombre.

C'est un type juste et aimant son prochain. Malgré son grade et son âge, il n'hésite pas à aider ceux qui lui en font la demande. Au grand désespoir de son ordonnance qui le supplie régulièrement de ne pas aider n'importe qui et n'importe quand. Il n'est pas forcément très loquasse et depuis quelques années, le soir, la mélancolie l'emporte souvent quand il se dresse en haut de la tour de guet à regarder l'océan.

Mais n'allez pas croire que c'est un enfant de cœur. Bien au contraire, c'est un homme de terrain, un meneur d'homme. Les deux divisions présentent à Logue Town sont régulièrement entraînés et formées à toutes éventualités et c'est lui même qui dirige les manoeuvres. Il sait se montrer fin stratège et user avec intelligence des forces dont il dispose.  

Une dernière chose, c'est un grand fumeur de pipe et il aime prendre le thé avec la Sous Amiral Bii du G2 avec qui il s'entend très bien.

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Marcus est un homme robuste, la quarantaine. Depuis tout jeune, il a souhaité devenir un haut-gradé de la marine. Il a dû s'arrêter au grade de Colonel, pas assez puissant pour entrer dans la classe supérieure. Pourtant, petit, c'était un élève modèle, plus fort que tous ses autres camarades, mais cela n'a pas suffi. Alors, une fois le statut de Colonel atteint, il a était transféré dans plusieurs bases, mais ne participa jamais a de grandes batailles, a de grands évènements. Non, lui, il dû supporter tous les jours les caprices des habitants de l'île qu'il protégeait. Ses supérieurs ont un jour décidés de l'affecter à la 14e division de Logue Town. Mais encore là, il passa ses journées dans son bureau à faire de la paperasse. Les seules interventions auxquelles il participait, pour lui, tout se passait loin du combat, à commander ses hommes. Dans sa carrière, Marcus n'est allé qu'une dizaine de fois sur le terrain. Attention, ce n'est pas parce qu'il se bat rarement qu'il est faible. Loin de là.

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Brillant officier de la Marine, commandant aimé de ses hommes et bon stratège, Walt était un des officiers supérieurs les plus en vue d'East Blue. Mais ça c'était avant le drame. Un pari à la con entre lui et le Contre-amiral Ackbar où le perdant devait ingurgiter un fruit du démon. Walt perdit plus qu'un pari ce jour là. L'horreur débuta comme une simple gueule de bois... qui ne le quitta plus jamais.  Désorientation, fatigue chronique, anxiété, coma éthylique, dépression. En moins d'un semestre, l'officier passa par toutes ces phases. Il devenu évident qu'il ne pouvait plus commander la flotte de la 87e, pas plus que se tenir debout... Plus tard, le fruit maudit fut identité comme celui de la Brasserie. On lui accorda un looong congé sabbatique au frais de l'institution et on s'empressa de le catégoriser comme un talent gâché. Mais un de perdu, milles de retrouvés ?

Seul et oublié de tous, il sombra dans la dépression et dans l'alcool. Non, pas une blague, ni un mauvais jeu de mot. A l'alcool, il ajouta l'alcool. Vivant de ses pensions, il passa ses journées à boire sans cure de la vie avec une forte tendance suicidaire. Plus d'une fois, on le repêcha dans la baie de Logue après une tentative de suicide. La bureaucratie pense maintenant à lui accorder une retraite anticipée mais en attendant, il est toujours le seul commodore de la 87e.

Après le traitement de son dossier en 1628 par le CP4, les envies suicidaires de Walt Masters se sont estompés. Il a toujours la fâcheuse tendance à se bourrer la gueule toute la journée. Néanmoins, il fréquente plus ces hommes et accepte sa malédiction. La maîtrise partielle de son pouvoir lui a ouvert de nombreuses possibilités. On dit de lui depuis son retour qu'il change l'eau en bière à volonté. Un aspect le rendant particulièrement populaire auprès des marins de garnison mais aussi de la population portuaire particulièrement friande des soirées arrosés, au grand damne des taverniers et barmans.

Lien avec l'Agent Tarentule/Capulina Dubal: