Un vétéran parmi les Saigneurs, un des membres fondateurs de cette équipage. Après de nombreuses aventures et péripéties en leurs compagnies, le charpentier a considéré qu'il était trop vieux pour continuer cette vie d'errance et de sang. Il est resté sur Dead End, où il chapeaute le chantier naval, mais reste néanmoins en contact constant avec le capitaine de son ancien équipage, prêt à informer Jack Sans Honneur en cas d'attaque. Ceci étant dit, le "vieux" a de bons restes, et n'hésite pas à mettre la main à la pâte, pour éviter de dépêcher ses compagnons pour éradiquer de menus fretins.

Qui ne remarque pas Oz ? Du haut de ses quarante mètres, il patrouille sur les côtes, prêt à repousser tout bateaux jugé hostiles par Noah ou Mongom' en l'absence de Jack bien qu'en le voyant la plupart des pirates fassent demi tour. Très difficile à contourner, il sera un récif pour esprits mal intentionnés voulant accoster sur Dead End. Il est, au même titre que Walters, gardien de l'île. Il tourne sans cesse autour de l'île et on peut l'apercevoir marcher encore et encore du coeur de la ville des flibustiers. On fait souvent référence à lui "Mange ta soupe sinon le grand géant viendra te manger!".

Merry Fredcurry n'est pas un pirate sanguinaire, il n'est même pas violent (enfin pas plus que nécessaire). Pour cet amoureux du 4e art, tout problème devrait pouvoir se résoudre en chantant. Il est devenu pirate afin de parcourir le monde et découvrir les mélodies légendaires. Malheureusement, tous n'aiment pas la musique et il a du recourrir à la force pour défendre ses convictions ainsi que les doigts fragiles d'un pianiste maltraité. Devenu un criminel recherché, Merry Fredcurry garde l'espoir d'amener la paix sur le monde grâce à sa musique.

Actuellement, Merry est lancé sur les traces du légendaire Soul King. Il tente de mettre la main sur le fameux audio dial contenant le dernier morceau des Rumba Pirates. Une pièce de choix pour ce musicien mais une tâche compliquée s'il en est qu'il a décidé de résoudre de façon simple: l'achat systématique de tous les audio dials possibles. Il trouve le bon: parfait. Ce n'est pas le bon, il trouve d'autres morceaux ou au pire peut enregistrer les siens par dessus. Seul problème, cela nécessite des fonds. Mais l'Art demande toujours des sacrifices.

1625 : Toujours à la recherche du légendaire Saké de Brinks, Merry Fredcurry a mis les bouchées doubles. Qui dit dials dit argent et qui dit argent dit Gouvernement Mondial. Afin d'avoir les moyens de satisfaire son ambition, le Musicien s'est au cours de l'année passée attaqué à un convoi du Gouvernement Mondial qu'il a proprement dépouillé après avoir endormi tout le personnel de bord.